Leonard Cohen: Cuba, idéalisme et pris dans l'invasion de la baie

Si vous pensez au compositeur décédé, au poète et à l'écrivain canadien Leonard Cohen, imaginez une vie incroyablement dense dans laquelle Cohen a vécu de nombreuses mini-vie distinctes qui ont été séparées par la romance, le temps et l'environnement. En fait, sa vie crie de s'adapter à un film biographique. Comme chaque granmitre de mots, l'existence de Cohen était l'un des nombreux rebondissements et une présence de clôture qui avait tendance à une beauté subtile à ses mots.

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Commençant comme poète dans les années 1960 et comme une figure marginale unique du grand nombre d'usine d'Andy Warhol, l'histoire de la vie de Cohen est lue d'une manière qui ne diffère pas de celle de Dante Alighieri, principalement de la manière dont il a quitté son pays d'origine du Canada et des changements pour une vie du mouvement constant et de l'intention personnelle. Lorsque nous prenons l'avertissement du biographe Jennifer, ce point semble vrai: Leonard se rend compte que l'ensemble de l'acte de vie contient d'immenses quantités de tristesse, de désespoir et de désespoir. Et aussi la passion, le grand espoir, l'amour profond et l'amour éternel.

C'est de ce sentiment de progrès apparemment inné que nous avons notre histoire aujourd'hui. Les histoires de Joni Mitchell ou de son idylle romantique sur l'île grecque d'Hydra ont été remplacées, mais aujourd'hui, nous sommes retournés pour visiter le moment où Cohen Montréal a quitté le climat froid pour la chaleur surréaliste du révolutionnaire Cuba. Au début du printemps 1961, Cohen a quitté la côte du Canada pour explorer la révolution socialiste de Cuba et est arrivée dans la Capitale La Havane le 30 mars.

En 1959, le dictateur militaire Fulgencio Batista a été annulé par les révolutionnaires communistes sous la direction de Fidel Castro, et lorsque Cohen est arrivé en 1961, lorsque Cohen est arrivé, le pays a subi une transfusion sanguine. Le Premier ministre Castro était considéré par la communauté politique mondiale comme un ennemi public numéro un, car cela était enfin correct au milieu du temps tendu de la guerre froide. Le pays a offert une évasion passionnante de la complaisance et du monde de la civilisation occidentale et dans son journal a même écrit Cohen: Je suis sauvage pour tous les types de violence.

Le Leonard Cohen reviendrait plus tard au Canada cette année comme l'homme qui était parti. Il a répondu une figure laïque qui était très consciente de son rôle de poète canadien sur la scène internationale. Ses amis remarqueraient un changement marqué, une maturité, et cela aurait une grande influence qui s'est développée dans l'artiste légendaire que nous connaissons tous aujourd'hui.

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Pendant son séjour à Cuba, Cohen a également coupé une figure similaire à l'aventurier principal du 20e siècle Pour ceux qui prennent la cloche author exuded. Interestingly, Hemingway would hold residence in Cuba throughout the 1940s and ’50s, but that is a story for another day. Not drawn to this tumultuous era of Cuba by his job as a war correspondent or by unwavering political ideals, it seems as if Cohen took off to Cuba driven mainly by excitement. When he arrived, the image he perceived was a stark contrast to the heavily romanticised city of Havana that had once been deemed the ‘Paris of the Caribbean’. Cohen found the colonial splendour in total decay. The facades were broken, lawns burnt out, the pastel colours faded, and he found a largely apathetic peasant class who were more concerned with the challenge of living day to day rather than with the upkeep of this once vibrant city. The war had left no facet of Cuban life untouched.

Cependant, la guerre n'étoufferait pas toute la caractéristique de la ville. Cohen a rapidement vécu la vie comme un vrai bourgeois. Il passerait de nombreuses nuits jusqu'aux premières heures du matin pour fumer, boire et parler aux habitants avant tout et à tout le monde. En tant que touriste culturel occidental, Cohen a même passé une vision typique des rebelles du pays. Shorts de chaussures, chaume et tout. Pendant ce temps, la ville a traversé des prostituées, des proxénètes, de petits criminels et chaque personne de peu d'intérêt dans laquelle il est entré en contact. Dans l'un de ses poèmes de temps, Cohen a couvert chaque auteur hédoniste des années 1920, similaire à chaque auteur hédoniste des années 1920, dans l'un de ses poèmes de l'époque où il pensait qu'il était vraiment le seul touriste à La Havane. Bien sûr, cet état de la série sensorielle ne prendrait pas longtemps. Comme le reste du pays le savait, la guerre d'indépendance et la stature de Cuba signifiaient que la vie n'était pas toutes les roses. En fait, ce n'était que la capacité de Cohen là-bas en tant que touriste qui pourrait profiter de la ville sans avoir à prêter trop d'attention aux effets de la guerre froide pour teindre leur environnement. Une nuit, cependant, son heureux paradis littéraire ignorant se bloquerait.

Cohen a fait un coup à sa porte d'un responsable du gouvernement canadien qui l'a rapidement accompagné au message. Cohen s'est souvenu de l'événement et s'est souvenu des émotions de ce fait aléatoire: j'étais Upton Sinclair! J'étais dans une mission importante. Cependant, il ne s'agissait pas du clair de lune en tant que figure de Hemingway / Bond. Il a été constaté qu'un groupe de Cuban Exile a organisé une petite attaque à l'aéroport de Havana en Floride. La gravité de l'attaque a été grandement décorée dans les médias, de sorte que la mère de Cohen avait contacté son cousin Laz Phillips, sénateur canadien, et lui a demandé de confirmer la sécurité de Leonard. Les rêves d'espion de Cohen se sont effondrés lorsque les variantes canadiennes ont dit: sa mère s'inquiète pour elle.

Ce serait le premier échantillon du conflit de Cohen qui ruine son idéal. L'attaque avait attiré l'attention sur l'invasion des opposés dans le régime communiste, qui a été soutenu par les États-Unis. Une nuit après cette expérience profondément humiliante à l'ambassade, Cohen est allé à environ 140 km à l'est de La Havane sur les plages de sable blanc de Varadero Beach. Il a toujours habillé sa tenue pseudo-régulatrice et portait un couteau de chasse. Il a été rapidement avec 12 soldats du régime de Castro.

Il a été amené au poste de police local et n'a pas pu combiner une prière espagnole, Cohen a prononcé à plusieurs reprises les seuls mots qu'il savait ce qui était ironiquement un slogan de Castro: l'amitié du peuple, qui traduit par l'amitié du peuple. Encore plus drôle, Cohen a tellement dit l'expression qu'il a seulement confirmé les soldats qu'il était vraiment américain. Compte tenu de son cadeau de cadeau naturel, Cohen avait réussi à convaincre ses ravisseurs après une heure et demie qu'il n'était pas américain mais canadien et qu'il était un ami du régime de Castro.

Le rhum a rapidement retiré et une fête est apparue. Cohen avait tellement gagné ses ravisseurs qu'elle a placé un collier et une corde avec deux balles autour de son cou. Le lendemain, après la fête, ils sont retournés à La Havane. Cohen reprendrait son existence bourgeoise et s'approfondissait dans la scène nocturne de la ville et se frottait les épaules avec des artistes et des écrivains. Il était même dans une lutte violente avec un communiste américain qui a craché son visage et l'a dénoncé comme faux et rien de plus qu'un fraudeur bourgeois.

(Crédito: Gijsbert Hanekroot / Alamy)

Cohen jetterait ensuite son esthétique pseudo-régulation et fixait son meilleur costume canadien de seersucker. Afin d'incarner le déclin des années 20, a décidé et a décidé d'accepter le personnage que le communiste américain avait développé pour lui, et a incarné l'individualiste dans lequel il est devenu. C'était une façon dangereuse de vivre à Cuba révolutionnaire. Heureusement, la première étape et le retour entre les États-Unis et Cuba avaient effectué en arrière-plan pour la sécurité de Cohen, chaque volée augmentant la chaleur. Le 17 avril, l'invasion avait joué avec la baie des porcs condamnés. Les forces armées de Castro ont défendu 1 300 exils cubains, qui ont été formés aux États-Unis, qui ne servaient qu'à consolider leur place en tant que chef de pays, qui reflète leurs déclarations sur l'impérialisme américain dans les Caraïbes. Les temps sont devenus dangereux. Les touristes ont été kidnappés, et ce n'était pas l'idylle que Cohen avait trouvé un mois plus tôt. Le lendemain de l'invasion, Cohen a même écrit à son éditeur: réfléchissez à la façon dont le livre est vendu si vous m'attaquez dans un absorbeur d'air. Quelle belle publicité! Ne me dites pas que vous n'y avez pas pensé. Dans le style typique de Cohen, il a décrit les événements comme un Hollywood incorrect.

Cohen savait que son temps à Cuba était éveillé. Cependant, ce n'était pas seulement lui qui avait le sentiment qu'il devait y aller, mais aussi toutes les classes moyennes du pays. Cela a conduit à l'époque des tentatives infructueuses de s'adresser à l'un des deux avions quotidiens à l'extérieur du pays à Miami. Apparemment, un chat avec neuf vie a réussi à réserver un siège dans un avion pour le 26 avril. Habituellement, Jirones a à nouveau fait ses rêves ce jour-là parce qu'ils lui ont dit qu'il ne pouvait pas quitter le pays. Les autorités avaient trouvé une photo de la nuit avec les soldats dans leur poche, où il ressemblait à un citoyen cubain et à un soldat de Castro.

De plus, Castros en a une copie Déclaration de La Havane Le fait qu'il ait eu chez sa personne n'a pas aidé son cas. Les officiers de l'aéroport pensaient même que leur passeport canadien était un faux. Il a été arrêté dans une cellule adhésive pour un Aold de 14 ans, qui a tenu un fusil avec lequel il en vain ses droits en tant que citoyens canadiens.

Le bonheur réapparaîtrait à nouveau du côté de Cohen. Un choc sur la piste a attiré l'attention du garde qui a fait Cohen sans surveillance. Notre protagoniste a tacitement rempli ses valises et a dit: Ce sera bien. Ils ne se soucient vraiment pas de moi. Puis il a réussi à glisser l'avion en silence, et après quelques minutes tendues, les portes se fermèrent et l'avion était dans les airs.

Cohen influencerait profondément l'expérience cubaine pour le reste de sa vie. Il informerait ses idéaux politiques et à son retour au Canada, il serait plus réaliste que l'idéaliste vert qui était arrivé à La Havane en mars. Ensuite, il serait très politisé, et pour le reste de sa vie, toutes les formes de censure, de collectivisme et de contrôle seraient opposées.

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Environ 18 mois après son expérience, Cohen a écrit à son frère, Victor Cohen, et lui a dit qu'il avait voyagé dans les Caraïbes pour voir la révolution socialiste, pas secouer un drapeau ou pour essayer un point. Bien que la vérité soit douteuse, Cohen a fait un bon point dans l'un de ses textes inachevés de cette époque. Une indication de la période de temps et de l'homme qui l'a écrit, a-t-il dit: Qui peut nier le plaisir, de voir des mensonges? Vous reconnaissez? Attrapez-vous? Une histoire surprenante, c'est l'une des nombreuses leçons à raconter encore. Offre une photo de Leonard Cohen Ceci est complètement différent de celui que nous trouvons souvent dans les médias et la langue.